La subalternité des femmes dans une nouvelle une femme d’essaouira : une étude du féminisme postcolonial. Étude du féminisme postcolonial dans "Une Femme d'Essaouira". Analyse la subalternité et la double oppression des femmes (patriarcat, colonialisme) et la violence domestique.
La nouvelle Une Femme d'Essaouira de Jean-Baptiste Margantin raconte l'histoire d'Aïcha, une femme vivant à Essaouira, au Maroc, qui est confinée dans un rôle domestique et subit la violence et les exigences de son mari. Cette problématique de recherche aborde la question de la subalternité vécue par les femmes du tiers-monde qui subissent une double oppression sous le patriarcat et le colonialisme restrictif. Cette recherche vise à montrer les formes de subalternité vécues par les femmes dans la nouvelle. La méthode de recherche utilisée est une méthode qualitative descriptive. L'objet matériel de cette recherche est la nouvelle Une Femme d'Essaouira de Jean-Baptiste Margantin, en utilisant la théorie du féminisme postcolonial de Gayatri Spivak. Les résultats de cette recherche révèlent que la subalternité des femmes est renforcée par les récits patriarcaux et la culture orientale, y compris le phénomène de la domestication, les restrictions sur les mouvements des femmes, l'objectivation des femmes et la violence domestique. Nous pouvons conclure que la marginalisation des femmes du tiers-monde repose sur des récits patriarcaux et des valeurs socioculturelles qui se perpétuent encore, en particulier dans la région orientale. Par conséquent, les femmes continueront à occuper une position subalterne sous la domination du pouvoir masculin.
Cette étude s'annonce comme une contribution pertinente au champ du féminisme postcolonial, en se penchant sur la représentation de la subalternité des femmes à travers l'œuvre de Jean-Baptiste Margantin, *Une Femme d'Essaouira*. L'approche est claire dès l'abstract, avec un objectif de recherche bien défini : explorer les formes de subalternité vécues par les femmes dans la nouvelle, en s'appuyant sur la théorie du féminisme postcolonial de Gayatri Spivak. L'utilisation d'une méthode qualitative descriptive est appropriée pour l'analyse d'un texte littéraire, et le choix du roman, centré sur l'histoire d'Aïcha et ses oppressions domestiques, offre un terrain fertile pour examiner les dynamiques de pouvoir sous-jacentes. La promesse d'une exploration de la "double oppression sous le patriarcat et le colonialisme restrictif" est particulièrement intrigante et donne une orientation solide à la recherche. Les résultats présentés dans l'abstract sont cohérents avec l'objectif et la problématique, identifiant des éléments clés tels que le renforcement de la subalternité par les récits patriarcaux et la culture orientale, la domestication, les restrictions de mouvement, l'objectivation des femmes et la violence domestique. Ces observations sont cruciales pour comprendre les mécanismes d'oppression. Cependant, l'abstract pourrait bénéficier d'une clarification sur la manière dont la "culture orientale" est précisément définie et analysée, afin d'éviter toute généralisation qui ne serait pas suffisamment ancrée dans le texte ou le contexte postcolonial spécifique du Maroc. De plus, bien que le titre mentionne "féminisme postcolonial" et que l'introduction évoque une "double oppression", les résultats semblent se concentrer davantage sur le patriarcat et les valeurs socioculturelles. Le lien explicite et approfondi avec les *effets du colonialisme restrictif* sur cette subalternité féminine – au-delà de la simple existence d'un patriarcat préexistant ou concomitant – mériterait d'être plus développé pour justifier pleinement l'ancrage postcolonial de l'analyse dans les résultats. En conclusion, cette recherche a le potentiel d'offrir des insights précieux sur les intersections du genre, de la culture et de l'héritage colonial dans la construction de la subalternité féminine. Pour la version complète de l'article, il serait recommandé d'articuler plus clairement et de manière analytique comment la théorie de Spivak est appliquée pour déconstruire les mécanismes de la subalternité, et surtout, comment l'aspect *postcolonial* informe spécifiquement la "double oppression" des femmes dans le cadre de la nouvelle. Une discussion plus nuancée des "récits patriarcaux et des valeurs socioculturelles" et de leur lien direct ou indirect avec les structures coloniales ou postcoloniales enrichirait considérablement l'analyse. L'étude promet d'apporter une lumière importante sur la marginalisation des femmes dans des contextes similaires et son achèvement complet sera une contribution bienvenue au domaine.
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