Novi Kurniawati, Yotania, Ika Puji Lestari

Bouleversement de l’identité des femmes dans le film Une femme du monde

Introduction

Bouleversement de l’identité des femmes dans le film une femme du monde. Analyse du film 'Une femme du monde' explorant l'identité féminine plurielle et fluide. Marie, mère et travailleuse du sexe, incarne la performativité de genre et les dynamiques identitaires.

Abstract

Une femme du monde est un film français qui se concentre sur les femmes. Marie, le personnage principal qui est travailleuse du sexe et également mère, est aux prises avec son identité et ses besoins économiques. Cet ouvre montre que les femmes n’ont pas une identité unique, mais plutôt une identité dynamique et fluide. Cela rejoint l’opinion de Judith Butler sur le concept de performativité de genre. Par conséquent, cette recherche examinera comment les identités des femmes sont représentées dans le film et comment la performativité est affichée à travers les personnages. Cette recherche utilise une approche qualitative et l'approche constructiviste avec le point de vue féministe. L'objet matériel est le film Une femme du monde avec un objet formel d'identité des femmes. La collecte de données a été réalisée en documentant des scènes et des dialogues montrant l'identité des femmes, puis en les analysant à l'aide de techniques d'analyse de contenu adaptées au concept de performativité. Les résultats de cette recherche montrent que l'identité des femmes est une identité plurielle. Les femmes dans ce roman sont décrites comme des mères, des femmes indépendantes et des travailleuses du sexe qui sont indissociables de leur capacité à maintenir leur vie. La performativité prend la forme d’un effort continu en tant que mère. De plus, même s’ils sont toujours différenciés par leur identité, les personnages de ce film reproduisent toujours leur identité de travailleuses du sexe même s’ils sont considérés comme s’écartant des normes hétéronormatives. Ainsi, on peut conclure que l'identité d'une femme n'est pas quelque chose de stable, mais plutôt une identité qui peut changer en fonction des conditions auxquelles elle est confrontée.

Review

The proposed research, titled "Bouleversement de l’identité des femmes dans le film Une femme du monde," presents a compelling examination of female identity within contemporary French cinema. The abstract clearly articulates a pertinent research question, focusing on the dynamic and fluid nature of women's identity as portrayed in *Une femme du monde*. The decision to analyze this specific film, featuring a complex protagonist who navigates roles as a sex worker and mother, offers a rich textual basis for exploration. The theoretical framework, grounded in Judith Butler's concept of gender performativity and a broader feminist perspective, provides a robust conceptual lens for understanding the nuanced representations of identity. The qualitative and constructivist approach further promises an in-depth, interpretive analysis. The methodology outlined, involving data collection through documentation of scenes and dialogues and subsequent content analysis, appears sound and well-suited to the research objectives. The abstract effectively summarizes the core findings, asserting that women's identity is indeed plural, encompassing roles as mothers, independent individuals, and sex workers, all intrinsically linked to their survival. Crucially, it highlights how performativity manifests as a continuous effort in the maternal role, and how identities, particularly that of sex workers, are reproduced despite their potential divergence from heteronormative standards. This conclusion strongly supports the central premise that female identity is not stable but rather adaptable to lived conditions. While the abstract provides a clear overview, a full manuscript would benefit from a more detailed elaboration on certain aspects. Specifically, further analytical depth could be achieved by demonstrating *how* the continuous effort of motherhood explicitly embodies performativity in the Butlerian sense, moving beyond a simple descriptive observation. Similarly, the mechanisms through which the sex worker identity is reproduced, particularly in defiance of heteronormative norms, warrant deeper theoretical and textual engagement. Exploring the broader implications of these findings for feminist film theory or contemporary understandings of female agency beyond the confines of this specific film would also strengthen the paper's contribution. Overall, this research promises to be a valuable addition to the discourse on cinematic representations of female identity and performativity.

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